Accrochée à mes racines
Un chant Acadien en sourdine
Là-bas, dans la ville
Je suis en exil
Sur le bord du Cap Diamant, j’imagine
Ce lieu de terre et d’eau qui fascine
Et qui porte l’histoire d’Évangeline
Un chant Acadien en sourdine
Là-bas, dans la ville
Je suis en exil
Sur le bord du Cap Diamant, j’imagine
Ce lieu de terre et d’eau qui fascine
Et qui porte l’histoire d’Évangeline
Foins d’odeur, foins de dune
Sur la baie, rayons de lune
Lueurs de fanal dans la lagune
Sur la baie, rayons de lune
Lueurs de fanal dans la lagune
Senteurs de goémon et de bord de côtes
Marée basse, marée haute
Ah, ces parlures de marins
Que l’on retrouve chez les miens
Et là-bas au large
Un pêcheur saute dans sa barge
Peut-être n’est-ce qu’un mirage
Si loin de mes racines
Musique acadienne en sourdine
Souvent j’hallucine
Sur ce pays imaginaire sans frontières
À l’héritage dont je suis si fière
Mon Acadie, Mon Acadie
Un million de fois, je t’aime
Marée basse, marée haute
Ah, ces parlures de marins
Que l’on retrouve chez les miens
Et là-bas au large
Un pêcheur saute dans sa barge
Peut-être n’est-ce qu’un mirage
Si loin de mes racines
Musique acadienne en sourdine
Souvent j’hallucine
Sur ce pays imaginaire sans frontières
À l’héritage dont je suis si fière
Mon Acadie, Mon Acadie
Un million de fois, je t’aime
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